Cat Loray peint ce qu'elle sculpte et sculpte ce qu'elle peint. Exprimant sa vision artistique en utilisant un large éventail de matériaux, elle se réfère clairement au monde organique dont elle capture l'essence à travers une variété de médiums et de formats artistiques. À travers des formes géométriques mi-figuratives et mi-abstraites, elle réinvente librement les objets qui l'entourent dans les larges zones blanches uniformes.
« La peinture et le dessin m’ont amené à créer des formes dans l’espace, le dialogue qui se crée entre une forme et son environnement est identique à celui du pinceau et de la toile. Le processus de création est constant, accumulation, succession de traits ou de points, mise en forme de module, mettant en évidence le rapport des éléments entre eux, le trait, la densité, l’espace le vide.
Les formes apparaissent fragiles et menaçant l’équilibre, elles existent au travers d’un espace que j’ai construit, l’espace blanc d’un papier, des fonds longuement travaillés sur la toile par couche successive d’aplats de couleurs dilués, laissant apparaître des formes comme suspendues, flottant dans un équilibre instable, l’espace extérieur redessiné par le déploiement d’un ruban miroir perturbant la réalité d’un paysage, l’espace intérieur où se confronte l’architecture d’un lieu, et la suspension d’une céramique, d’un mur ou je viens fixer des fils en caoutchouc retraçant l’idée d’un simple gribouillage sur papier.
J’exploite, je cherche, je m’aventure dans toute sorte de support ou de matériaux toile papier, terre, caoutchouc, métal bois etc…., j’assemble, je colle, je construis puis déconstruis, je dessine beaucoup et je jette énormément, je salie, j’observe toutes sortes de choses, une tache d’huile sur un papier, les traces d’un vieillissement sur un mur, le vol des oiseaux migrateurs, l’accumulation d’éléments naturels, la formation d’une cellule, je prends des photos, je répertorie, j’inscris ces instants comme un répertoire d’images. »
Cat Loray peint ce qu'elle sculpte et sculpte ce qu'elle peint. Exprimant sa vision artistique en utilisant un large éventail de matériaux, elle se réfère clairement au monde organique dont elle capture l'essence à travers une variété de médiums et de formats artistiques. À travers des formes géométriques mi-figuratives et mi-abstraites, elle réinvente librement les objets qui l'entourent dans les larges zones blanches uniformes.
« La peinture et le dessin m’ont amené à créer des formes dans l’espace, le dialogue qui se crée entre une forme et son environnement est identique à celui du pinceau et de la toile. Le processus de création est constant, accumulation, succession de traits ou de points, mise en forme de module, mettant en évidence le rapport des éléments entre eux, le trait, la densité, l’espace le vide.
Les formes apparaissent fragiles et menaçant l’équilibre, elles existent au travers d’un espace que j’ai construit, l’espace blanc d’un papier, des fonds longuement travaillés sur la toile par couche successive d’aplats de couleurs dilués, laissant apparaître des formes comme suspendues, flottant dans un équilibre instable, l’espace extérieur redessiné par le déploiement d’un ruban miroir perturbant la réalité d’un paysage, l’espace intérieur où se confronte l’architecture d’un lieu, et la suspension d’une céramique, d’un mur ou je viens fixer des fils en caoutchouc retraçant l’idée d’un simple gribouillage sur papier.
J’exploite, je cherche, je m’aventure dans toute sorte de support ou de matériaux toile papier, terre, caoutchouc, métal bois etc…., j’assemble, je colle, je construis puis déconstruis, je dessine beaucoup et je jette énormément, je salie, j’observe toutes sortes de choses, une tache d’huile sur un papier, les traces d’un vieillissement sur un mur, le vol des oiseaux migrateurs, l’accumulation d’éléments naturels, la formation d’une cellule, je prends des photos, je répertorie, j’inscris ces instants comme un répertoire d’images. »
Cat Loray peint ce qu'elle sculpte et sculpte ce qu'elle peint. Exprimant sa vision artistique en utilisant un large éventail de matériaux, elle se réfère clairement au monde organique dont elle capture l'essence à travers une variété de médiums et de formats artistiques. À travers des formes géométriques mi-figuratives et mi-abstraites, elle réinvente librement les objets qui l'entourent dans les larges zones blanches uniformes.
« La peinture et le dessin m’ont amené à créer des formes dans l’espace, le dialogue qui se crée entre une forme et son environnement est identique à celui du pinceau et de la toile. Le processus de création est constant, accumulation, succession de traits ou de points, mise en forme de module, mettant en évidence le rapport des éléments entre eux, le trait, la densité, l’espace le vide.
Les formes apparaissent fragiles et menaçant l’équilibre, elles existent au travers d’un espace que j’ai construit, l’espace blanc d’un papier, des fonds longuement travaillés sur la toile par couche successive d’aplats de couleurs dilués, laissant apparaître des formes comme suspendues, flottant dans un équilibre instable, l’espace extérieur redessiné par le déploiement d’un ruban miroir perturbant la réalité d’un paysage, l’espace intérieur où se confronte l’architecture d’un lieu, et la suspension d’une céramique, d’un mur ou je viens fixer des fils en caoutchouc retraçant l’idée d’un simple gribouillage sur papier.
J’exploite, je cherche, je m’aventure dans toute sorte de support ou de matériaux toile papier, terre, caoutchouc, métal bois etc…., j’assemble, je colle, je construis puis déconstruis, je dessine beaucoup et je jette énormément, je salie, j’observe toutes sortes de choses, une tache d’huile sur un papier, les traces d’un vieillissement sur un mur, le vol des oiseaux migrateurs, l’accumulation d’éléments naturels, la formation d’une cellule, je prends des photos, je répertorie, j’inscris ces instants comme un répertoire d’images. »