Frédéric Deprun réalise des toiles, au rendu très réaliste et aux couleurs acidulées, qui explorent le monde, réel ou fantasmé, de l’enfance. On y retrouve une multitude de jouets, de figurines, de peluches, de poupées, qui, à travers des lumières trop fortes ou des jeux de transparence, basculent dans un univers bizarre, voire angoissant. Les images se télescopent ou s’entremêlent dans ses tableaux comme dans un rêve, toujours à la limite du cauchemar.
F.G., Le Progrès, 2015
L’artiste, à travers un traitement hyperréaliste joue sur des effets d’échelles, de distorsions et de flous, pour instaurer le trouble dans l’esprit du spectateur. Ce dernier est projeté dans un monde insolite et extraordinaire où les objets prennent vie dans des paysages presque réels.
Dans ses compositions, Frédéric Deprun met en scène des images d’eau, de reflets, des miroirs et des vitres embuées suggérant deux mondes qui affleurent l’un l’autre, un passage entre rêve et réalité. Les personnages composent des saynètes, chacune d’elle racontant sa propre histoire. Prises dans leur ensemble, elles forment un recueil imaginaire proche de celui du conte.
Frédéric Deprun réalise des toiles, au rendu très réaliste et aux couleurs acidulées, qui explorent le monde, réel ou fantasmé, de l’enfance. On y retrouve une multitude de jouets, de figurines, de peluches, de poupées, qui, à travers des lumières trop fortes ou des jeux de transparence, basculent dans un univers bizarre, voire angoissant. Les images se télescopent ou s’entremêlent dans ses tableaux comme dans un rêve, toujours à la limite du cauchemar.
F.G., Le Progrès, 2015
L’artiste, à travers un traitement hyperréaliste joue sur des effets d’échelles, de distorsions et de flous, pour instaurer le trouble dans l’esprit du spectateur. Ce dernier est projeté dans un monde insolite et extraordinaire où les objets prennent vie dans des paysages presque réels.
Dans ses compositions, Frédéric Deprun met en scène des images d’eau, de reflets, des miroirs et des vitres embuées suggérant deux mondes qui affleurent l’un l’autre, un passage entre rêve et réalité. Les personnages composent des saynètes, chacune d’elle racontant sa propre histoire. Prises dans leur ensemble, elles forment un recueil imaginaire proche de celui du conte.
Frédéric Deprun réalise des toiles, au rendu très réaliste et aux couleurs acidulées, qui explorent le monde, réel ou fantasmé, de l’enfance. On y retrouve une multitude de jouets, de figurines, de peluches, de poupées, qui, à travers des lumières trop fortes ou des jeux de transparence, basculent dans un univers bizarre, voire angoissant. Les images se télescopent ou s’entremêlent dans ses tableaux comme dans un rêve, toujours à la limite du cauchemar.
F.G., Le Progrès, 2015
L’artiste, à travers un traitement hyperréaliste joue sur des effets d’échelles, de distorsions et de flous, pour instaurer le trouble dans l’esprit du spectateur. Ce dernier est projeté dans un monde insolite et extraordinaire où les objets prennent vie dans des paysages presque réels.
Dans ses compositions, Frédéric Deprun met en scène des images d’eau, de reflets, des miroirs et des vitres embuées suggérant deux mondes qui affleurent l’un l’autre, un passage entre rêve et réalité. Les personnages composent des saynètes, chacune d’elle racontant sa propre histoire. Prises dans leur ensemble, elles forment un recueil imaginaire proche de celui du conte.