Epurée, puissante, sereine, mystérieuse, la peinture de Marion Tivital débusque la beauté là où l’oeil commun ne la soupçonne pas. En peignant des architectures taboues, des friches silencieuses, l’artiste donne une âme aux choses qui n’en ont pas. Et ses paysages nimbés de brume, sont eux, autant d’invitations au rêve.
Les friches industrielles et les usines désaffectées sont, pour Marion Tivital, de mystérieuses présences immobiles et muettes. Oubliant leur fonction première, vidées de toute présence humaine, elles semblent se réintégrer dans le paysage et elles acquièrent ainsi une fascinante intemporalité. »
L’énergie et la force sereine qui les habitent, la plastique de leurs structures presque abstraites, donnent envie d’écouter leur langue ténébreuse » dit l’artiste.
« Cette langue parle d’absence et de mélancolie, mais aussi d’harmonie et de sérénité retrouvées. Et c’est le silence même de ces lieux de mémoire, puissamment chargés d’humanité, qui devient sujet plastique et objet d’infinies rêveries. »
Pierre Souchaud
Epurée, puissante, sereine, mystérieuse, la peinture de Marion Tivital débusque la beauté là où l’oeil commun ne la soupçonne pas. En peignant des architectures taboues, des friches silencieuses, l’artiste donne une âme aux choses qui n’en ont pas. Et ses paysages nimbés de brume, sont eux, autant d’invitations au rêve.
Les friches industrielles et les usines désaffectées sont, pour Marion Tivital, de mystérieuses présences immobiles et muettes. Oubliant leur fonction première, vidées de toute présence humaine, elles semblent se réintégrer dans le paysage et elles acquièrent ainsi une fascinante intemporalité. »
L’énergie et la force sereine qui les habitent, la plastique de leurs structures presque abstraites, donnent envie d’écouter leur langue ténébreuse » dit l’artiste.
« Cette langue parle d’absence et de mélancolie, mais aussi d’harmonie et de sérénité retrouvées. Et c’est le silence même de ces lieux de mémoire, puissamment chargés d’humanité, qui devient sujet plastique et objet d’infinies rêveries. »
Pierre Souchaud
Epurée, puissante, sereine, mystérieuse, la peinture de Marion Tivital débusque la beauté là où l’oeil commun ne la soupçonne pas. En peignant des architectures taboues, des friches silencieuses, l’artiste donne une âme aux choses qui n’en ont pas. Et ses paysages nimbés de brume, sont eux, autant d’invitations au rêve.
Les friches industrielles et les usines désaffectées sont, pour Marion Tivital, de mystérieuses présences immobiles et muettes. Oubliant leur fonction première, vidées de toute présence humaine, elles semblent se réintégrer dans le paysage et elles acquièrent ainsi une fascinante intemporalité. »
L’énergie et la force sereine qui les habitent, la plastique de leurs structures presque abstraites, donnent envie d’écouter leur langue ténébreuse » dit l’artiste.
« Cette langue parle d’absence et de mélancolie, mais aussi d’harmonie et de sérénité retrouvées. Et c’est le silence même de ces lieux de mémoire, puissamment chargés d’humanité, qui devient sujet plastique et objet d’infinies rêveries. »
Pierre Souchaud