« Considéré comme un des fers de lance de la nouvelle abstraction française, ce plasticien spécialisé dans la photopeinture est un artiste modeste et discret.
Avant tout un grand voyageur, amateur de mégapoles – avec un faible pour New York-, d’étendues désertiques et de territoires volcaniques, et pour qui chaque découverte d’un endroit de la planète, quel qu’il soit, est prétexte à s’étonner et à créer. Ces incursions dans des mondes si éloignés les uns des autres nourrissent ses œuvres depuis des années.
Il est célèbre notamment pour ses photopeintures géantes de New-York, éclatantes de couleur. Sur l’une d’elles, l’œil est aimanté par les taches rouges. On dirait du sang. […] Nous sommes dans le domaine de l’abstrait, chacun peut donc voir ou ressentir ce qu’il veut devant les toiles de Tony Soulié. Lui même est peu disert sur son travail.
J’ai commencé par la peinture mais j’ai toujours utilisé des supports très différents. Ces derniers temps, je travaille sur une base photographique en noir et blanc, obtenue d’après le procédé argentique. La couleur, la peinture interviennent ensuite. Je garde toujours la même palette.
Les villes, explique-t-il, je les vois d’une façon abstraite. Elles appartiennent à tout le monde, mais comment les traduire à travers ma vision ? Ce que j’aime, c’est coller ma propre histoire sur une ville comme New York, par exemple, qui est devenue une icône »
Christiane Poulin, Extrait du journal Sud Ouest Dimanche, avril 2012
« Considéré comme un des fers de lance de la nouvelle abstraction française, ce plasticien spécialisé dans la photopeinture est un artiste modeste et discret.
Avant tout un grand voyageur, amateur de mégapoles – avec un faible pour New York-, d’étendues désertiques et de territoires volcaniques, et pour qui chaque découverte d’un endroit de la planète, quel qu’il soit, est prétexte à s’étonner et à créer. Ces incursions dans des mondes si éloignés les uns des autres nourrissent ses œuvres depuis des années.
Il est célèbre notamment pour ses photopeintures géantes de New-York, éclatantes de couleur. Sur l’une d’elles, l’œil est aimanté par les taches rouges. On dirait du sang. […] Nous sommes dans le domaine de l’abstrait, chacun peut donc voir ou ressentir ce qu’il veut devant les toiles de Tony Soulié. Lui même est peu disert sur son travail.
J’ai commencé par la peinture mais j’ai toujours utilisé des supports très différents. Ces derniers temps, je travaille sur une base photographique en noir et blanc, obtenue d’après le procédé argentique. La couleur, la peinture interviennent ensuite. Je garde toujours la même palette.
Les villes, explique-t-il, je les vois d’une façon abstraite. Elles appartiennent à tout le monde, mais comment les traduire à travers ma vision ? Ce que j’aime, c’est coller ma propre histoire sur une ville comme New York, par exemple, qui est devenue une icône »
Christiane Poulin, Extrait du journal Sud Ouest Dimanche, avril 2012
« Considéré comme un des fers de lance de la nouvelle abstraction française, ce plasticien spécialisé dans la photopeinture est un artiste modeste et discret.
Avant tout un grand voyageur, amateur de mégapoles – avec un faible pour New York-, d’étendues désertiques et de territoires volcaniques, et pour qui chaque découverte d’un endroit de la planète, quel qu’il soit, est prétexte à s’étonner et à créer. Ces incursions dans des mondes si éloignés les uns des autres nourrissent ses œuvres depuis des années.
Il est célèbre notamment pour ses photopeintures géantes de New-York, éclatantes de couleur. Sur l’une d’elles, l’œil est aimanté par les taches rouges. On dirait du sang. […] Nous sommes dans le domaine de l’abstrait, chacun peut donc voir ou ressentir ce qu’il veut devant les toiles de Tony Soulié. Lui même est peu disert sur son travail.
J’ai commencé par la peinture mais j’ai toujours utilisé des supports très différents. Ces derniers temps, je travaille sur une base photographique en noir et blanc, obtenue d’après le procédé argentique. La couleur, la peinture interviennent ensuite. Je garde toujours la même palette.
Les villes, explique-t-il, je les vois d’une façon abstraite. Elles appartiennent à tout le monde, mais comment les traduire à travers ma vision ? Ce que j’aime, c’est coller ma propre histoire sur une ville comme New York, par exemple, qui est devenue une icône »
Christiane Poulin, Extrait du journal Sud Ouest Dimanche, avril 2012