La galerie Gilbert Dufois est très heureuse de présenter une nouvelle exposition personnelle de l’artiste Agnès Baillon, celle-ci regroupe des personnages de différentes tailles afin de simuler une scène de rue au sein même de la galerie. La scénographie représentera une ville, dans laquelle se trouve des personnages, certains seront assis sur des marches, d’autres regarderont au loin, d’autres en groupe et en attente. Il y aura aussi un free hug man, personnage appartenant à un mouvement répandu à travers le monde, aujourd’hui qui consiste à partager un peu de nous même avec un inconnu en l’étreignant.
L’exposition intitulée Downsizing, en rapport avec le film d’Alexander Payne, sorti en 2017 qui fit l’ouverture du 74ème festival de Venise, dans lequel des scientifiques pour lutter contre la surpopulation mettent au point un processus permettant de réduire les humains à une taille de12 cm, promesse d’un avenir meilleur.
« Un jour, un visiteur est entré dans une de mes expositions et m’a dit : « Ce sont les vestiges d’une civilisation pacifiste... » Il était hésitant et sollicitait mon approbation ou son contraire. Je n’avais jamais vu les choses sous cet angle. On apprend finalement toujours de soi dans le verbe des autres. »
Agnès Baillon
Extrait d’un entretien fait avec Charlotte Waligora
La galerie Gilbert Dufois est très heureuse de présenter une nouvelle exposition personnelle de l’artiste Agnès Baillon, celle-ci regroupe des personnages de différentes tailles afin de simuler une scène de rue au sein même de la galerie. La scénographie représentera une ville, dans laquelle se trouve des personnages, certains seront assis sur des marches, d’autres regarderont au loin, d’autres en groupe et en attente. Il y aura aussi un free hug man, personnage appartenant à un mouvement répandu à travers le monde, aujourd’hui qui consiste à partager un peu de nous même avec un inconnu en l’étreignant.
L’exposition intitulée Downsizing, en rapport avec le film d’Alexander Payne, sorti en 2017 qui fit l’ouverture du 74ème festival de Venise, dans lequel des scientifiques pour lutter contre la surpopulation mettent au point un processus permettant de réduire les humains à une taille de12 cm, promesse d’un avenir meilleur.
« Un jour, un visiteur est entré dans une de mes expositions et m’a dit : « Ce sont les vestiges d’une civilisation pacifiste... » Il était hésitant et sollicitait mon approbation ou son contraire. Je n’avais jamais vu les choses sous cet angle. On apprend finalement toujours de soi dans le verbe des autres. »
Agnès Baillon
Extrait d’un entretien fait avec Charlotte Waligora