Pierre-Marie Brisson né en 1955, il vit et travaille à Paris et en Camargue.
Enfant, il se passionne pour la préhistoire et la peinture. Dès l’âge de 14 ans, il compose ses premiers tableaux.
En 1972, il rencontre le peintre Bernard Saby, qui l'encourage. En 1975, à 19 ans, il réalise sa première exposition au Musée Charles Peguy d'Orléans. Il s'initie à la gravure dans l'atelier Pasnic à Paris, en 1979.
En 1980 a lieu sa première exposition à New York. A partir de 1981, Pierre-Marie Brisson expose régulièrement en France, en Allemagne, en Suède, au Japon, au Canada et aux Etats-Unis, où il est reconnu comme un artiste majeur. Son œuvre est présente dans les collections des Musées de New York, Los Angeles et San Francisco.
Pierre Marie Brisson a toujours nourri une grande passion pour l’héritage et les traditions de l’art et de la civilisation en Occident; son travail a fait sien tout le registre de l’art occidental, depuis les peintures rupestres et les fresques antiques, jusqu’à l’art de la Renaissance et des premiers maîtres modernes des XIXème et XXème siècles.
Sa profonde admiration pour Henri Matisse, devenue de plus en plus croissante, ces dernières années, transparaît dans ses compositions rythmées et dans ses configurations abstraites, aux couleurs exubérantes.
Pierre Marie Brisson ne se contente pas de suivre les traces du maître français, ni de lui rendre hommage, il tend vers les vérités essentielles de l’art de Matisse et les transcende. Il en a créé un riche répertoire de poses, de corps, de gestuelles et d’humeurs, dont la présence esthétique,suggère une vive émotion.
« Quelqu’un a dit que l’art n’est pas une forme de communication mais un véhicule permettant àl’artiste de partager son expérience avec le spectateur. L’œuvre de Pierre-Marie Brisson correspond àcette description. Elle est riche de plusieurs strates d’expressions artistiques capables d’ouvrir la porte à des couches oubliées ou refoulées de nos mémoires. Mais pour que cela se produise, il faut que le spectateur accepte de s’arrêter assez longtemps, non seulement pour regarder, mais aussi pour ressentir le sens de l’œuvre ».
Robert Flynn Johnson
Pierre-Marie Brisson né en 1955, il vit et travaille à Paris et en Camargue.
Enfant, il se passionne pour la préhistoire et la peinture. Dès l’âge de 14 ans, il compose ses premiers tableaux.
En 1972, il rencontre le peintre Bernard Saby, qui l'encourage. En 1975, à 19 ans, il réalise sa première exposition au Musée Charles Peguy d'Orléans. Il s'initie à la gravure dans l'atelier Pasnic à Paris, en 1979.
En 1980 a lieu sa première exposition à New York. A partir de 1981, Pierre-Marie Brisson expose régulièrement en France, en Allemagne, en Suède, au Japon, au Canada et aux Etats-Unis, où il est reconnu comme un artiste majeur. Son œuvre est présente dans les collections des Musées de New York, Los Angeles et San Francisco.
Pierre Marie Brisson a toujours nourri une grande passion pour l’héritage et les traditions de l’art et de la civilisation en Occident; son travail a fait sien tout le registre de l’art occidental, depuis les peintures rupestres et les fresques antiques, jusqu’à l’art de la Renaissance et des premiers maîtres modernes des XIXème et XXème siècles.
Sa profonde admiration pour Henri Matisse, devenue de plus en plus croissante, ces dernières années, transparaît dans ses compositions rythmées et dans ses configurations abstraites, aux couleurs exubérantes.
Pierre Marie Brisson ne se contente pas de suivre les traces du maître français, ni de lui rendre hommage, il tend vers les vérités essentielles de l’art de Matisse et les transcende. Il en a créé un riche répertoire de poses, de corps, de gestuelles et d’humeurs, dont la présence esthétique,suggère une vive émotion.
« Quelqu’un a dit que l’art n’est pas une forme de communication mais un véhicule permettant àl’artiste de partager son expérience avec le spectateur. L’œuvre de Pierre-Marie Brisson correspond àcette description. Elle est riche de plusieurs strates d’expressions artistiques capables d’ouvrir la porte à des couches oubliées ou refoulées de nos mémoires. Mais pour que cela se produise, il faut que le spectateur accepte de s’arrêter assez longtemps, non seulement pour regarder, mais aussi pour ressentir le sens de l’œuvre ».
Robert Flynn Johnson