Cette exposition est intitulée I’m pink : en Chine la couleur de l’amour est le rose, une couleur féminine très présente dans sa palette, Cédrick Vannier présente ses toutes dernières toiles, réalisées lors de sa résidence artistique en Chine, à Longzhou, ville à la fois traditionnelle et moderne. Il a cherché à saisir l’atmosphère de cette ville, surprenante, immuable, à travers des scènes de vie, des portraits, essentiellement féminins. Cette expérience a été l’opportunité pour lui de se renouveler, d’appréhender le spectacle vivant d’une ville, ailleurs.
« A l’origine du travail de Cédrick Vannier, il y a ce désir de se réapproprier les sujets classiques de la peinture comme le portrait, le paysage, les scènes de genre ou la nature morte... Ses tableaux trouvent souvent leurs sources dans la pratique photographique.
Des prises de vue multiples qui forment une banque d’images, sorte de matière du quotidien où l’artiste puise ses sujets. La peinture livre ensuite ces fragments de réalité dans leur frontalité, pour entraîner le spectateur vers une imagerie simple, vers le paysage du quotidien, qui ne revendique pas la narration qu’il suppose. La visée de Cédrick Vannier est toute autre. Ce que l’artiste veut réaffirmer, c’est que la peinture est un acte, un fait, ou la figuration se confond avec la réalité de la matière et du geste pictural. »
Ludovic Clouvet
Cette exposition est intitulée I’m pink : en Chine la couleur de l’amour est le rose, une couleur féminine très présente dans sa palette, Cédrick Vannier présente ses toutes dernières toiles, réalisées lors de sa résidence artistique en Chine, à Longzhou, ville à la fois traditionnelle et moderne. Il a cherché à saisir l’atmosphère de cette ville, surprenante, immuable, à travers des scènes de vie, des portraits, essentiellement féminins. Cette expérience a été l’opportunité pour lui de se renouveler, d’appréhender le spectacle vivant d’une ville, ailleurs.
« A l’origine du travail de Cédrick Vannier, il y a ce désir de se réapproprier les sujets classiques de la peinture comme le portrait, le paysage, les scènes de genre ou la nature morte... Ses tableaux trouvent souvent leurs sources dans la pratique photographique.
Des prises de vue multiples qui forment une banque d’images, sorte de matière du quotidien où l’artiste puise ses sujets. La peinture livre ensuite ces fragments de réalité dans leur frontalité, pour entraîner le spectateur vers une imagerie simple, vers le paysage du quotidien, qui ne revendique pas la narration qu’il suppose. La visée de Cédrick Vannier est toute autre. Ce que l’artiste veut réaffirmer, c’est que la peinture est un acte, un fait, ou la figuration se confond avec la réalité de la matière et du geste pictural. »
Ludovic Clouvet